Si vous ne connaissez pas encore la merveilleuse capitale du Portugal, vous serez enchantés par cette ville et l’atmosphère qui y règne. Lisbonne combine l’énergie d’une capitale à la douceur indolente d’une ville du sud.
Pendant une semaine de mai 2015, nous sommes allés là ou nos pieds nous menaient, faisant confiance à notre feeling et aux bonnes vibrations de l’atmosphère lisboète. Bon, chaussez vos baskets car la ville est construite sur sept collines et ça grimpe dur ….! Heureusement qu’il y a les trams!!!
Impossible de ne pas s’étendre un peu plus sur « l’electico » jaune qui serpente dans la ville. C’est la ‘’star’’ de Lisbonne, une véritable icône que l’on retrouve dans des films, des pièces de théâtre, des chansons…mais avant toute chose, c’est surtout le meilleur moyen d’appréhender la ville.
Prenez l’electrico 28 ! Son parcours vous transportera à travers Lisbonne, assis à côté d’une ‘’mémé’’ portugaise! Il vous emmènera dans les anciens quartiers, et vous déposera, au passage, au château Sao Jorge. Un trajet vraiment sympa !!! Un petit conseil cependant, restez bien accrochés car les coups de freins sont souvent ‘’secs’’…!
Pendant notre séjour, nous avons logés à La Casa dos Mexias dans le quartier de l’Alfama. Joli petit appartement idéalement situé, très bien équipé et très propre. Très bon accueil de Nuno le propriétaire qui parlait parfaitement le français et nous a régalé avec des pasteis de nata. Quel plaisir de s’endormir au son du fado qui émane parfois des murs et des fenêtres et de profiter de ce quartier très vivant.
L’ambiance lisboète…..
Lisbonne est un lieu où se mélangent plusieurs époques et les atmosphères propres à ses quartiers historiques. La Belle-époque continue d’habiter le quartier du Chiado avec les souvenirs de Fernando Pessoa, la présence de Vasco de Gama est encore sensible à Belém et la vieille ville médiévale de l’Alfama reste perceptible entre son ancien quartier juif, sa médina musulmane et sa communauté de pécheurs chrétiens. Le XXIème siècle surgit quant à lui dans l’audace des lignes contemporaines des édifices du Parque das Nações, qui accueillit la dernière exposition universelle du XXème siècle.